AJOUR
pour flûte et électronique
AJOUR
Le souffle du flûtiste est amplifié et coloré par son propre corps, puis par le tube de la flûte, ensuite par les différents micros, et pour finir par l’électronique en temps réel. C’est à partir de ces colorations gigognes que s’est construit ajour. Et, en contrepoint, ce souvenir distordu et forcément interprété de « l’ajour » d’André de Bouchet :
"l’ajour c’est le contraire du jour mais ce n’est pas la nuit"
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